Pourvu que la mastication ne soit pas longue a été créée dans le cadre des Vive le sujet ! du Festival d’Avignon 2021.

Représentations
Du 18 au 24 juillet 2021, Jardin de la Vierge dans le cadre de Vive le sujet ! Festival d’Avignon 2021
Du 11 au 14 août 2021, dans le cadre de L’Hyper Festival de la Ville de Paris
Le 20 novembre 2021, aux Ateliers Médicis, dans le cadre du festival TYPO, le festival des écritures de caractère
Les 24 et 25 mars 2022, au Palais de la Porte Dorée, dans le cadre du Grand Festival 2022
Les 9 et 10 juillet 2022 au Festival de la Cité à Lausanne (Suisse)
Résumé de la pièce
Pourvu que la mastication ne soit pas longue est le fruit de la rencontre entre trois artistes, trois disciplines, trois continents, trois parcours. À la croisée du mythe et du contemporain, Hakim Bah, auteur de nombreuses pièces de théâtre, ré-interroge le tragique dans nos sociétés actuelles. Juan Ignacio Tula, artiste circassien et danseur, virtuose de la roue Cyr, développe et défriche les possibilités de cet agrès. Arthur B. Gillette, Fondateur du groupe Moriarty, guitariste et compositeur au goût de l’errance et des paysages éthérés. En croisant nos différentes disciplines, nous voulons interroger les bavures policières à travers une fiction documentée qui prend appui sur un fait réel: celui de la mort de Amadou Diallo, un jeune guinéen abattu de 41 balles dans le Bronx le 4 février 1999 par 4 officiers de police new -yorkais. Plongée au cœur de cette affaire qui a secoué l’Amérique et les médias.
Conception et interprétation Hakim Bah, Juan Ignacio Tula, Arthur B. Gillette
Texte Hakim Bah
Roue-Cyr Juan Ignacio Tula
Création musicale et sonore Arthur B. Gillette
Regard extérieurMara Bijeljac
Lumière Gabriele Smiriglia
Production Compagnie Paupières Mobiles, Compagnie 7Bis
Production déléguée Compagnie Paupières Mobiles
Coproduction SACD-Festival d’Avignon
Accueil en résidence et coproduction : Plateforme 2 Pôles Cirque en Normandie, La Brèche à Cherbourg -Cirque-Théâtre d’Elbeuf. Accueilli en résidence aux Ateliers Médicis.
Avec le soutien de Montévidéo Centre d’Art et La maison Pop à Montreuil




